Présentation

Je sais, c’est un titre étrange. Mais comment unir toutes mes passions dans un seul titre? Une petite explication s’impose : le mot « anatra » réunit deux de mes passions, car il signifie canard en italien. Vous l’aurez compris, j’adore les canards et je parle et j’aime l’italien, à tel point que je me destine à une carrière de professeur d’italien. « Littéraire » parce que j’adore la littérature et les mots. Je lis autant pour l’histoire racontée que pour la beauté des mots et des phrases.
Voilà, vous me connaissez un petit peu mieux, nous pouvons entrer dans le vif du sujet.

Publié dans : Non classé | le 9 janvier, 2007 |10 Commentaires »

De retour après une encore plus longue absence

Bon je sais, je suis impardonnable, cela fait presque un an que je n’ai rien écrit. Oui, mais j’ai de bonnes raisons : après trois ans de dur labeur, d’acharnement, j’ai enfin obtenu le fameux concours. Et oui, je suis maintenant professeur d’italien dans le secondaire. Mais je n’étais pas au bout de mes peines après l’obtention de ce concours : l’éducation nationale a eu la « bonne » idée de m’affecter à 600 km de chez moi, dans l’académie de Grenoble ( nous sommes 5 dans ce cas-là). Et là encore une « bonne » surprise m’attendait : mon établissement de rattachement se trouve à Fontaine, petite ville de la périphérie de Grenoble. Chouette, me direz-vous, c’est juste à côté de Grenoble, donc de l’IUFM, et puis c’est joli comme nom Fontaine… Oui, sauf que mon établissement se trouve en ZEP. Bon j’avoue que les élèves ne sont pas violents, mais en gros ils n’en ont rien à faire des cours, et encore moins de l’italien… Et voilà tout le problème, comment faire cours à une bande d’ados plus préoccupés par leur voisin ou leur voisine que par ce que le prof dit… Surtout quand on est un jeune professeur qui n’a jamais fait cours avant et qui donc ne peut même pas se raccrocher au contenu de son cours pour justement réussir à le faire son cours…

Quand on est un jeune professeur, il faut s’attendre également à tout, au niveau comportement, comme au niveau langage : j’ai eu le droit à « Madame, j’ai quelque chose à vous dire, mais c’est vulgaire : j’ai envie de péter », j’ai eu le droit dans le même style à « Madame, j’ai envie de pisser ». Au niveau comportement, j’ai un élève qui a voulu me faire croire qu’il était en train de faire une crise cardiaque ou d’épilepsie, je ne sais pas trop, et je pense que lui-même hésitait, ce qui fait que je n’y pas cru du tout. Un élève a voulu me faire une démonstration de street dance en pleine classe, j’en ai un qui s’est cru au cirque et a voulu me faire croire qu’il avalait sa règle. J’avoue que cette dernière tentative a fonctionné et que j’ai éclaté de rire quand je me suis rendu compte qu’il n’avalait pas réellement sa règle.

En moins drôle, j’ai eu le droit à « Madame, pleurez un coup ça vous fera du bien », ou encore « vous comprenez pourquoi Mme B. est partie »…

 

Bon pour rester dans la thématique de ce blog, qui est, je le rappelle, les livres, et pour rester dans la thématique de cet article, je voudrais parler d’un livre que tout professeur stagiaire devrait lire et qui s’appelle Profs Academy écrit par Iman Bassalah, Academy en référence à la Star Academy.Il s’agit du récit de l’année de stage de huit trentenaires, professeurs de différentes matières et à différents niveaux de l’enseignement secondaire. A travers le récit de cette année, on découvre la vie de jeunes professeurs, et ce qui pourrait passer pour des anecdotes sont en fait des réalités que l’on peut rencontrer dans ce métier. A la fin du livre, comme à la fin de la Star Academy, on découvre qui restera prof, et qui ne le restera pas (que ce soit un choix personnel, ou une décision du rectorat). C’est un livre qui est en général plutôt drôle, mais il y a également des passages plus émouvants quand il s’agit de situations difficiles vécues par les élèves.

 

Bon, pour finir,  je promets d’essayer d’écrire plus souvent sur ce blog qui, je le sens, va devenir petit à petit un blog sur mes aventures au pays de l’éducation nationale.

Publié dans : Non classé | le 5 novembre, 2009 |2 Commentaires »

De retour après une longue absence

Voilà, pour faire plaisir à ma soeur, je reviens après une longue pause (plus de six mois). Et j’ai décidé, toujours pour lui faire plaisir de parler d’un écrivain qu’elle affectionne tout particulièrement et qu’elle m’a fait découvrir.

   Il s’agit de … (roulement de tambour)… Terry Pratchett

  Alors pour résumer son style en deux mots : de la fantasy burlesque. Le premier roman que j’ai lu de lui est La Vérité,  au début uniquement parce que je voulais savoir pourquoi ma soeur éclatait de rire toutes les trois pages lors du trajet qui nous menait mes parents, et donc ma soeur et moi, en Mayenne, chez notre tante. J’ai rapidement compris la raison de son hilarité quand j’ai moi-même commencé à lire ce roman lors du trajet qui nous menait mes parents et moi en Italie (eux en vacances, moi de retour chez moi à préparer mon déménagement à Chambéry).

  J’ai continué à lire Terry Pratchett et les aventures du Disque-Monde, cette année-là à Chambéry (quand on n’a pas la télévision, je vous garantis qu’on augmente rapidement sa moyenne de lecture) et j’ai découvert les personnages et les lieux récurrents de cet auteur : Ankh-Morpork dont Vétérini est le Patricien, l’université de l’Invisible, avec Rincevent, le Guet (des Orfèvres) avec Vimaire, Carotte, Angua, Hilare PetitCul, Détritus, Chicard Chique et les autres (le Guet étant un excellent exemple du respect de la parité des espèces, nains, trolls, loups-garous, humains…), la Mort (dont nous savons grâce à l’excellent traducteur Patrick Couton que c’est un personnage masculin et non féminin) avec sa faux, sa petite-fille Suzanne, Mémé Ciredutemps…

  Je continue encore à lire Terry Pratchett, même maintenant après la fin de ma parenthèse chambérienne, et le dernier que j’ai lu est Jeu de Nains, qui raconte une aventure du Guet, dans laquelle Vimaire va éviter une guerre entre nains et trolls, tout en sachant rester disponible tous les soirs à 18h pour son fils. Toujours excellent et je tiens encore une fois à rappeler le merveilleux travail du traducteur Patrick Couton qui sait toujours rendre les jeux de mots à la perfection.

  Vivement la prochaine traduction d’un roman de Terry Pratchett…

Publié dans : litterature | le 21 novembre, 2008 |2 Commentaires »

Le cœur cousu de Carole Martinez

« Combien de temps ai-je rebroussé chemin, reprenant à l’envers le fil du temps, afin de retrouver les traces laissées par ma mère trente ans auparavant dans le sable de ce pays?[...]
  Je n’ai rien volé à ma nièce qu’une douleur promise. La boîte restera au désert, je ne la lui remettrai pas à Pâques comme le veut la tradition. Elle ne passera plus de main en main. Sa course s’arrête ici, à mes pieds, dans l’immensité absurde de cette étendue blanche. Ce cahier décousu où reposent les débris rêvés de nos existences, je le rends feuille à feuille au vent dont il est issu…
  Les pages s’envolent une à une …
  Je n’ai plus qu’à gaspiller la dernière des prières du troisième soir. Alors, se lèveront les morts pour la dernière fois avant de regagner le néant à tout jamais et le fil sera coupé

  Et maintenant, que, par ma prière surgisse la voix des mères:

  Mon nom est Frasquita Carasco. Mon âme est une aiguille. Tes feuilles lancées au désert, les voici réunies, reliées dans un livre que tu pourras refermer à jamais sur mon histoire.
  Soledad, ma fille, sens ce vent sur ton visage.
  C’est mon baiser.
  Celui que jamais je ne t’ai donné.
  »

   C’est ainsi que se termine ce premier roman de Carole Martinez, roman qui baigne dans une atmosphère de tradition, de superstition et de magie. Il raconte l’incroyable voyage d’une femme et de ses filles, liées par une boîte qu’elles se transmettent de mère en fille, de soeur en soeur, de tante en nièce, une boîte magique, qui contient pour chacune de ces femmes un pouvoir différent.

  Ce livre est un livre émouvant et fort à la fois, écrit de manière très poétique, mais qui malheureusement n’a pas bénéficié d’une grande publicité. Un roman vraiment magnifique qui a obtenu plusieurs prix, entre autres le prix renaudot des lycéens.

Publié dans : litterature | le 20 mars, 2008 |5 Commentaires »

L’élégance du hérisson de Muriel Barbéry

  9782070780938.gif   de Muriel Barbéry

  Voilà mon livre coup de coeur de la rentrée.

  L’élégance du hérisson raconte deux histoires entrecroisées : celle d’une gardienne d’immeuble très cultivée, antithèse du stéréotype de la concierge, mais qui fait tout pour paraître conforme à cette image; et celle d’une petite fille, très intelligente mais qui elle aussi tente de passer inaperçue à l’école comme chez elle. Ce roman nous présente également toute une galerie de personnages, les habitants de cet immeuble plutôt bourgeois. La concierge parvient à dissimuler sa véritable identité jusqu’à l’arrivée dans l’immeuble d’un mystérieux homme asiatique qui découvrira son secret.

  Roman très bien écrit et qui se dévore sans faim.

 

Publié dans : litterature | le 23 novembre, 2007 |4 Commentaires »

Paris III, me revoilà l’année prochaine!

  Et oui, Paris III me revoilà, j’ai raté mon concours! Ou plutôt, j’ai raté les oraux de mon concours. Mais bon ce n’est pas grave, je le retenterai l’année prochaine.

  A part cette mauvaise nouvelle, j’ai commencé à travailler dans un endroit de rêve (en tout cas pour les visiteurs) : Disneyland!!! Je suis à l’entrée (ou à la sortie) et j’accueille les visiteurs (les « guests » dans le jargon disneylandien). Bonjour, hello, holà, ciao, hallo, je suis en train de devenir polyglotte. Rien de mieux que travailler à Disneyland pour apprendre les langues : moi qui ne parlais pas un mot d’espagnol, je commence maintenant à comprendre à peu près tout ce que me demandent les visiteurs espagnols. J’ai la chance de voir presque tous les jours Mickey, mais malheureusement Donald ne m’a pas encore été présenté.

  En parlant de Disneyland et pour en revenir au thème principal de ce blog, c’est-à-dire les livres, je vous conseille le roman de Yann Moix, Anissa Corto. Ce roman raconte l’histoire d’un homme qui travaille justement à Disneyland, et qui tombe amoureux d’une jeune fille, Anissa Corto. Ce roman nous fait traverser toutes les étapes de cet amour et nous montre jusqu’où peut mener l’amour qu’une personne porte à une autre.

 

Publié dans : Non classé | le 18 juillet, 2007 |2 Commentaires »

Gotico Rurale

dx1.jpg Gotico Rurale Eraldo Baldini

  A travers ce recueil de nouvelles, Eraldo Baldini nous fait voyager dans l’Italie des superstitions et des croyances populaires. Presque toutes les nouvelles relèvent clairement du genre fantastique et se rapprochent de certaines nouvelles d’Edgar Allan Poe. Les morts reviennent pour se venger ou pour finir ce qu’ils avaient entrepris, la nature a ses démons qu’il ne faut pas réveiller. Voilà tout le livre d’Eraldo Baldini, relativement facile à lire mais passionnant. A éviter avant de dormir.

  Eraldo Baldini est malheureusement peu connu en France et seuls deux de ses livres ont été traduits en français (Mal’aria et le tueur). Ce recueil de nouvelles n’a donc pas encore été traduit.

Publié dans : litterature | le 13 mai, 2007 |4 Commentaires »

Teacher Man de Frank McCourt

 2714442420.jpg Traduit de l’américain par Laurence Viallet

  Troisième roman de la trilogie autobiographique de Frank McCourt, Teacher Man nous raconte les tribulations d’un jeune professeur d’anglais à New-York. Malgré un bref passage dans une université, la carrière d’enseignant de Frank McCourt s’est essentiellement déroulée dans des lycées techniques, où il a tenté par tous les moyens de capter l’attention de ses jeunes élèves en leur racontant son enfance en Irlande, ou encore en organisant des lectures de recettes de cuisine accompagnées de musique… Ce livre m’a beaucoup plu; il est même très intéressant pour ceux qui comme moi souhaite devenir professeur, car il permet une réflexion sur le métier d’enseignant ainsi que sur les méthodes pédagogiques.

  « Si tu demandais aux élèves de tes cinq classes d’écrire trois cents cinquante mots chacun tu obtenais 175 multiplié par 350 et tu te retrouvais avec quarante-trois mille sept cent cinquante mots qu’il fallait lire, corriger, évaluer et noter les soirs et les week-ends. Cela dans le cas où tu étais assez malin pour ne leur donner qu’un devoir par semaine. Il fallait corriger les fautes d’orthographe, de grammaire, les faiblesses de construction, les transitions, le manque de rigueur de manière générale. Il fallait faire des suggestions sur le contenu et écrire un commentaire général expliquant la note. [...]

  En passant à peine cinq minutes sur chaque copie, sur un seul tas de copies, tu travaillais quatorze heures et trente-cinq minutes. Ce qui équivalait à plus de deux jours de cours et ton week-end était fichu.[...]

C’est ça, la vie d’un professeur de lycée. » pp. 273-275.

Cette citation fait réfléchir sur le métier de professeur et leur réputation, n’est-ce-pas?

Publié dans : litterature | le 28 mars, 2007 |Pas de Commentaires »

Salon du livre et péripéties citadines

  Aujourd’hui, je suis allée au salon du livre. Cette année, le pays à l’honneur est l’Inde. Il y avait beaucoup de monde, mais malgré cela, j’ai beaucoup apprécié.

  Il faut dire que la journée avait très bien commencé. Un gentil et aimable automobiliste m’a traitée de « Connasse », parce que je l’avais, ô comble de l’insolence, fait s’arrêter pour pouvoir traverser une route (sur un passage pour piétons, à un feu qui, certes, venait de passer au rouge pour moi, mais pour la simple et bonne raison que, tenant très fortement à ma vie, j’avais dû laisser passer un autre automobiliste qui n’avait manifestement pas lui non plus envie de me laisser passer). En tant que piétonne, mais aussi en tant que cycliste, j’en ai assez de la suprématie des automobilistes, qui se croient tout puissant avec leurs bolides. L’année dernière, une voiture a failli me renverser sur une piste cyclable parce qu’elle n’avait pas respecté un stop. Sans compter toutes les fois où je n’ai pas pu utiliser la dite piste cyclable parce que des voitures l’avaient envahie la transformant en parking pour pouvoir voir un match de foot (les péripéties en vélo se sont passées à Chambéry, ce qui m’est arrivé ce matin s’est déroulé à Evry).

  Pour en revenir au salon du livre, je me suis juste acheté un roman de Tabucchi Notturno Indiano, au programme du Capes. Je sais que le Capes écrit est terminé et que d’ailleurs, malgré mes fortes prières adressées au Dieu des concours, Tabucchi n’est pas tombé (Mon prof n’aimerait pas ce que je viens de dire : « ce n’est pas Tabucchi qui tombe, mais un sujet sur l’oeuvre de Tabucchi »). Mais je suis prévoyante : si je n’ai pas le concours et que Tabucchi est encore au programme l’année prochaine, j’aurai un livre de plus de lui dans ma bibliothèque. En plus, c’est un beau petit livre bleu, et j’ai aimé ce roman. En conclusion, ce n’est pas une dépense inutile. Donc, je disais tout à l’heure qu’il y avait du monde : les pires endroits sont les allées où il y a des écrivains à la mode qui dédicacent leurs oeuvres. Exemple : Amélie Nothomb. Il y a trois ans, ma mère avait fait deux heures de queue au salon du livre pour pouvoir m’obtenir un autographe (j’étais encore à Chambéry à ce moment là). Je lui ai rendue la pareille, en faisant environ quinze minutes de queue dans une petite librairie parisienne pour en avoir un du même écrivain (je n’aime pas le nom écrivaine). Moi-même en 2002 je me suis fait dédicacé un livre par l’écrivain Joseph Joffo. Je ne suis pas particulièrement passionnée par ses livres ni par les dédicaces d’ailleurs, mais quand j’étais petite, j’avais lu un sac de billes, comme beaucoup d’écoliers. Et ce jour-là de mars 2002, je me suis retrouvée devant le stand de cet auteur qui était seul, personne ne lui demandait de dédicace. Et en souvenir de mon enfance, je suis allée lui acheter un roman Agates et Calots qu’il m’a gentiment dédicacé.

Voilà pour aujourd’hui c’est tout. Je suis en train de lire un livre que ma mère s’est acheté au salon du livre et qui s’appelle La gloire de Saucisse, mais là ce serait trop long à expliquer.

Publié dans : litterature | le 24 mars, 2007 |Pas de Commentaires »

Demain c’est le grand jour

Demain, jour J. C’est la première épreuve du CAPES. Capes d’italien, aboutissement de six ans d’études. Capes d’italien, pour lequel il n’y a que 8% de réussite. Environ 700 candidats, pour 61 postes sur toute la France. Beaucoup d’appelés et peu d’élus. J’espère que je serai parmi ces 8%. Demain, début des réjouissances : commentaire de documents en langue étrangère. Jeudi : dissertation en langue française. Vendredi : traduction (thème et version). Le commentaire de texte sera soit un texte de Tabucchi, soit un texte de Pétrarque, soit un texte de l’un des trois auteurs qui ont écrit sur le gouvernement de Florence, c’est-à-dire Machiavel, Guichardin, Savonarole. Si je pouvais choisir, je prendrais Florence en commentaire de texte, et Tabucchi en dissert. Malheureusement, je n’ai pas le choix et je ferai avec ce que l’on me donnera.

 

Publié dans : Non classé | le 20 mars, 2007 |Pas de Commentaires »

Vercelli

vacances2005250.jpgVoici deux photos de Vercelli, ville italienne à mi-chemin entre Turin et Milan. La première photo représente la place Cavour, et la deuxième la basilique Sant’Andrea. Vercelli est la ville dans laquelle j’ai effectué ma quatrième année d’université en 2004/2005. Ce fut une bonne année, avec ses joies et ses peines. J’y ai recontré des personnes formidables et des personnes odieuses, comme il en existe dans chaque ville. Cette expérience étrangère restera à jamais dans ma mémoire. J’y ai compris ce que peut ressentir une personne hors de son pays natal et j’y ai aussi découvert ce que l’on peut ressentir par rapport au regard des autres qui nous voient comme étranger. J’ai en particulier fait l’expérience de la demande du permis de séjour à la questura, et j’y ai vu comment les personnes dites « étrangères » y sont traitées (avec la différence entre les personnes appartenant à l’Union Européenne et les personnes hors Union Europééenne). Néanmoins, ce séjour reste un bon souvenir dans l’ensemble, mais je ne pense pas que je retournerai un jour vivre en Italie. Je garde encore des contacts avec certaines personnes, par mail, par courrier, et je pense que je retournerai les voir bientôt. 

vacances2005008.jpg

Publié dans : Non classé | le 9 mars, 2007 |Pas de Commentaires »
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